La femme Amazigh
La femme a su a travers l’histoire sauvegarder l’héritage culturel de notre peuple amazigh. Elle était en quelque sorte la garante d’une pérennité des traditions et coutumes de génération en génération. La grande mère était vraisemblablement l’école numéro 1 qu’affrontaient les nouvelles générations. Sa mémoire s’étendait bien à des éphémérides vielles des siècles qu’aux détails d’une vie que menaient imazighen en communauté.
Actuellement encore, elle continue à jouer ce rôle dans les compagnes et monts de l’Adrar, mais dans les villes et agglomérations riveraines, la femme joue un rôle très négatif dans l’éducation des nouvelles générations.
Souvent elle n’a pas confronté l’école ou son niveau scolaire et des plus bas. Ce qui ne lui permet pas d’ériger dans son entourage une personnalité forte en imposant sa langue et son identité culturelle. Elle commence a parler arabe des son premier pas dans la ville.
A la maison, elle se contente de suivre la vague des films égyptiens et mexicains qui s’abattent sur nôtres chaînes de télévision. Elle se contente d’apparaître « arabe » pour déjouer ! les regards de dénigrement dont sont victimes ces « chelhat » qui osent parler tamazight en rue !.
Elles vivent la même étape qu’avaient vécu les hommes des années 60 et 70, qui se sentaient une certaine infériorité de parler leur langue maternelle en pleine rue.
L’état n’est pas pour rien dans cette affaire. Ses politiques durant des années dans l’école, les medias et tous les domaines a fait que vivre amazigh la ou l’on se trouve est très difficile .la reconquête de notre identité commence dans nos foyers.
Actuellement encore, elle continue à jouer ce rôle dans les compagnes et monts de l’Adrar, mais dans les villes et agglomérations riveraines, la femme joue un rôle très négatif dans l’éducation des nouvelles générations.
Souvent elle n’a pas confronté l’école ou son niveau scolaire et des plus bas. Ce qui ne lui permet pas d’ériger dans son entourage une personnalité forte en imposant sa langue et son identité culturelle. Elle commence a parler arabe des son premier pas dans la ville.
A la maison, elle se contente de suivre la vague des films égyptiens et mexicains qui s’abattent sur nôtres chaînes de télévision. Elle se contente d’apparaître « arabe » pour déjouer ! les regards de dénigrement dont sont victimes ces « chelhat » qui osent parler tamazight en rue !.
Elles vivent la même étape qu’avaient vécu les hommes des années 60 et 70, qui se sentaient une certaine infériorité de parler leur langue maternelle en pleine rue.
L’état n’est pas pour rien dans cette affaire. Ses politiques durant des années dans l’école, les medias et tous les domaines a fait que vivre amazigh la ou l’on se trouve est très difficile .la reconquête de notre identité commence dans nos foyers.
Hassan Amheri
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